Note : Grrrrrrrrr
L'histoire
Makoto, une jeune lycéenne très garçon manquée vie une scolarité à peu près normale en compagnie de ses deux amis Chiaki et Kousuké. Il lui arrive quelques petits malheurs liés à sa maladresse mais rien de bien important. Mais un jour elle découvre qu'elle peut remonter le temps et changer le cours de son histoire, quasiment indéfiniment, quasiment...
Mon avis
Il n'y a donc pas que Miyazaki qui sait faire des films d'animation digne de ce nom ! L'histoire est géniale, simple, mais prenante, j'avais eu l'occasion il y a trois ans de lire le roman paru à l'école des loisirs et je dois avouer que j'avais adoré, mais je ne savais pas qu'un film d'animation avait été tiré de ce roman. Quelle ne fut pas ma surprise de tomber dessus un jour que j'étais en maraude. Les personnages sont très attachants et l'histoire a le mérite de nous faire réfléchir sur la notion de temps qui passe, de voyage dans le temps autant que Wells l'avait déjà fait avec sa merveilleuse et diabolique machine. Les Japonais sont doués pour une chose incroyable renouveler le genre du fantastique et de la science-fiction, en effet pour moi un livre de fantastique réussi parle du quotidien tel que nous le vivons avec ses embarras, ses petits soucis et ses microbonheurs au sein desquels surgissent un élément impossible aux règles du vraisemblable. Ma définition du fantastique serait donc un quotidien de l'insignifiance où la mécanique du surgissement vient mettre à mal les certitudes. C'est un peu le principe du diable dans la boîte, j'aime beaucoup ce jouet et pour moi il tient du fantastique : un enfant qui découvre pour la première fois une boîte toute bête carrée posée devant lui veut s'amuser avec, osculter ses arrêtes, grater la peinture dessus, la faire rouler, tester son équilibre mais soudain, quelque chose d'impossible se passe : la boîte s'ouvre et un diable plus gros que le contenant elle même en sort s'agitant et riant aux éclats. Imaginez la surprise paut-être la frayeur, c'est tout simplement invraisemblable.
Mon avis
Il n'y a donc pas que Miyazaki qui sait faire des films d'animation digne de ce nom ! L'histoire est géniale, simple, mais prenante, j'avais eu l'occasion il y a trois ans de lire le roman paru à l'école des loisirs et je dois avouer que j'avais adoré, mais je ne savais pas qu'un film d'animation avait été tiré de ce roman. Quelle ne fut pas ma surprise de tomber dessus un jour que j'étais en maraude. Les personnages sont très attachants et l'histoire a le mérite de nous faire réfléchir sur la notion de temps qui passe, de voyage dans le temps autant que Wells l'avait déjà fait avec sa merveilleuse et diabolique machine. Les Japonais sont doués pour une chose incroyable renouveler le genre du fantastique et de la science-fiction, en effet pour moi un livre de fantastique réussi parle du quotidien tel que nous le vivons avec ses embarras, ses petits soucis et ses microbonheurs au sein desquels surgissent un élément impossible aux règles du vraisemblable. Ma définition du fantastique serait donc un quotidien de l'insignifiance où la mécanique du surgissement vient mettre à mal les certitudes. C'est un peu le principe du diable dans la boîte, j'aime beaucoup ce jouet et pour moi il tient du fantastique : un enfant qui découvre pour la première fois une boîte toute bête carrée posée devant lui veut s'amuser avec, osculter ses arrêtes, grater la peinture dessus, la faire rouler, tester son équilibre mais soudain, quelque chose d'impossible se passe : la boîte s'ouvre et un diable plus gros que le contenant elle même en sort s'agitant et riant aux éclats. Imaginez la surprise paut-être la frayeur, c'est tout simplement invraisemblable.
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