Note : Grrr
L'histoire
L'Institut Xavier est menacé par un groupement armé proche du Président et qui souhaite anéantir tous les mutants. Wolverine sur la trace de son passé va devoir secourir les mutants et se battre contre bien plus qu'un simple adversaire pour lui. Des alliances entre mutants ennemis pourraient se faire à cette occasion.
Mon avis
C'est un show à l'américaine quoi. Le scénario n'est pas des plus fins, les personnages ne sont pas du tout attachants, on se fiche royalement des états d'âme de Wolverine d'ailleurs la scène où il pleure la disparition de son amour est plutôt ridicule "Elle est partie... Elle est... partie... Elle...est partie...e...lle est ...par...tie" bon sang, il vaudrait mieux se taire que d'en faire trop et puis très sérieusement répéter 36 fois cette phrase est tout sauf un bon coup de mise en scène ce qui m'étonne de la part de Singer qui est tout de même à l'origine d'Usual suspect, de la première saison de Dr House et de... ah ben non en fait le reste c'est pas fameux, au temps pour moi...
Le coup de talent réside dans les trois premières minutes du film sur la musique de Mozart (son fameux Dies Irae) et l'apparition de cet étrange personnage qui sauve un peu le film malgré le fait qu'on ne lui laisse pas trop sa place. En fait, je crois que c'est ça on arrive pas à s'intéresser aux personnages car il y en a trop ; simultanément on suit les aventures de Wolverine tourmenté, de Charles Xavier prisonnier, de Magneto évadé, de Tornade avec ses blagues à deux balles, de Jean Grey avec un fameux mal de tête, Cyclope à la ramasse, de Malicia amoureuse, de Mystique devenue le symbole des minorités opprimées, de Diablo/Alan Cumming (Il n'était pas dans Emma l'entremetteuse lui ?) qui aurait pu avoir un beau rôle mais là on se demande ce qu'il fait ici, et de Stryker le méchant bourreau d'enfant. Cela nous fait dix personnages principaux à suivre avec autant de temps impartis à chacun parce que faut pas déconner on a payer des stars alors autant qu'elles servent. A cela s'ajoute les seconds couteaux (eh oui en plus !!!) Deathstrike, Iceberg, Pyro, Jason... on parle pas des figurants qui disent tous quelque chose pour être drôle ou pour meubler le peu de temps qui leur est imparti... bref on ressort on est vidé... Ce qu'il y a de bien dans les comics version papier c'est que c'est silencieux.
Mon avis
C'est un show à l'américaine quoi. Le scénario n'est pas des plus fins, les personnages ne sont pas du tout attachants, on se fiche royalement des états d'âme de Wolverine d'ailleurs la scène où il pleure la disparition de son amour est plutôt ridicule "Elle est partie... Elle est... partie... Elle...est partie...e...lle est ...par...tie" bon sang, il vaudrait mieux se taire que d'en faire trop et puis très sérieusement répéter 36 fois cette phrase est tout sauf un bon coup de mise en scène ce qui m'étonne de la part de Singer qui est tout de même à l'origine d'Usual suspect, de la première saison de Dr House et de... ah ben non en fait le reste c'est pas fameux, au temps pour moi...
Le coup de talent réside dans les trois premières minutes du film sur la musique de Mozart (son fameux Dies Irae) et l'apparition de cet étrange personnage qui sauve un peu le film malgré le fait qu'on ne lui laisse pas trop sa place. En fait, je crois que c'est ça on arrive pas à s'intéresser aux personnages car il y en a trop ; simultanément on suit les aventures de Wolverine tourmenté, de Charles Xavier prisonnier, de Magneto évadé, de Tornade avec ses blagues à deux balles, de Jean Grey avec un fameux mal de tête, Cyclope à la ramasse, de Malicia amoureuse, de Mystique devenue le symbole des minorités opprimées, de Diablo/Alan Cumming (Il n'était pas dans Emma l'entremetteuse lui ?) qui aurait pu avoir un beau rôle mais là on se demande ce qu'il fait ici, et de Stryker le méchant bourreau d'enfant. Cela nous fait dix personnages principaux à suivre avec autant de temps impartis à chacun parce que faut pas déconner on a payer des stars alors autant qu'elles servent. A cela s'ajoute les seconds couteaux (eh oui en plus !!!) Deathstrike, Iceberg, Pyro, Jason... on parle pas des figurants qui disent tous quelque chose pour être drôle ou pour meubler le peu de temps qui leur est imparti... bref on ressort on est vidé... Ce qu'il y a de bien dans les comics version papier c'est que c'est silencieux.
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